Nueva Newsletter de la DDM Zona Oriental

El nuevo boletín de la Delegación Diocesana de Migraciones de la Zona Oriental ya está disponible, en francés y español.

Español : http://tinyurl.com/2exchsjn

Francés : http://tinyurl.com/57lt77of

Así mismo, la página web de la DDM Zona Oriental (https://ddmnador.org/) ha sido actualizada con las nuevas secciones “País de Origen”, en la que se muestran los avances de las intervenciones en Guinea Conakry y en Senegal; y “RefAid”, una iniciativa para facilitar el acceso a los servicios de base a las personas más vulnerables.

Charles de Foucauld et le Maroc : Introduction

« Charles de Foucauld et le Maroc »

Pendant 8 semaines nous verrons comment le Maroc a marqué Charles de Foucauld.

Nous suivons ce thème en 3 étapes :

  • Nous pouvons faire connaissance avec son voyage d’exploration au Maroc fait en 1883-1884, dont le récit détaillé se trouve dans son livre « Reconnaissance au Maroc » (parties 1-4)
  • Jean- François de Marignan nous partagera son expérience faite en suivant pendant 6 mois en 2018 l’itinéraire de Charles de Foucauld au Maroc (parties 5-7)
  • Nous verrons comment Charles de Foucauld restait attaché au Maroc toute sa vie (partie 8)

Charles de Foucauld et le Maroc : Le choix du Maroc

Partie 1 : Le choix du Maroc

Le goût des voyages

Charles de Foucauld n’a passé qu’une année au Maroc. Mais ce qu’il a vécu l’a profondément marqué. Quand il a fait son voyage d’exploration au Maroc, du juin 1883 au mai 1884, il avait à peine 25 ans.

Le récit de son voyage publié dans son livre « Reconnaissance au Maroc »1 lui a valu la médaille d’or de la Société de Géographie de Paris.

Pour comprendre « d’où il venait », et dans quel état d’esprit il a commencé son voyage, il faut se rappeler ses années d’avant :

En 1881, alors jeune officier de 22 ans, il était envoyé avec son régiment en Algérie. Mais il tient à son indépendance et ne veut pas se plier devant d’autres. Il sera renvoyé de l’armée pour indiscipline doublée d’inconduite notoire.

Quelques mois plus tard, à sa propre demande, il est réintégré dans l’armée, mais donne finalement en 1882 sa démission définitive. Le 18 février 1882 il écrit à Gabriel Tourdes, un ami de lycée :

« …je déteste la vie de garnison : je trouve le métier assommant en temps de paix ce qui est l’état habituel (…) aussi j’étais résolu depuis longtemps à quitter un jour ou l’autre la carrière militaire. Dans ces dispositions j’ai préféré m’en aller toute de suite : à quoi bon trainer encore quelques années, sans aucun but, une vie où je ne trouve aucun intérêt ; j’aime mieux profiter de ma jeunesse en voyageant ; de cette façon au moins je m’instruirai et je ne perdrai pas mon temps » 2

Son séjour dans le désert algérien a commencé à changer sa vie et lui a donné le goût de l’aventure. Dix ans plus tard, dans une lettre du 21 février 1892 à son ami Henri Duveyrier il écrit :

«… je passai sept à huit mois sous la tente dans le Sahara oranais, cela me donna un goût très vif des voyages pour lesquels j’avais toujours senti de l’attrait. Je donnai ma démission en 1882 pour satisfaire librement ce désir d’aventures ».3

Pourquoi le Maroc ?

Il faisait d’abord le projet d’un long voyage en Orient, voulant traverser toute l’Afrique du Nord, l’Arabie Saoudite et aller jusqu’à Jérusalem, où il pensait se retrouver avec un médecin qu’il avait connu dans le Sud-Oranais.

Il demande à son ami de lycée, Gabriel Tourdes, de lui procurer un tas de livres pour se préparer à ce voyage.  « …tu comprends que ce serait dommage de faire d’aussi beaux voyages, bêtement et en simple touriste : je veux les faire sérieusement… 4

Mais subitement il change son projet : il ne veut plus aller en Orient, mais en direction opposé :

au Maroc pour un voyage d’exploration.

Pourquoi ce changement ? On retrouve son goût de l’aventure, son caractère fier avec ce projet extrêmement ambitieux de faire quelque chose que personne n’a encore pu faire avant lui.

C’est peut-être qu’après une jeunesse et un parcours très tourmentés il a soif de combler un vide par une expérience forte, soif de se risquer sans mesure, soif de réussir son projet personnel. Finalement soif de l’absolu.

Et nous le verrons, il fallait absolument aller jusqu’au bout ! A sa sœur, Marie qui en janvier 1884 s’inquiète et le demande de revenir en France, il répond : « Quand on part en disant qu’on va faire quelque chose, il ne faut pas revenir sans l’avoir faite 5

Une aventure dangereuse

Explorer le Maroc, pays qui jusque-là était inconnu en grande partie, n’était pas possible pour un Européen sans risquer sa vie. Seulement certaines zones étaient accessibles aux Européens.

D’une part il y avait le « Bled al Maghzen » – pays avec des populations soumises au sultan et d’autre part le « Bled es -Siba » – pays où l’autorité du sultan était contestée par des tribus insoumises qui représentait 5/6 du pays.

La préparation du voyage

A partir de juin 1882, donc à 24 ans, Charles de Foucauld se prépare à la Bibliothèque d’Alger, aidé des meilleurs spécialistes de l’époque, comme Mac Carthy et le grand explorateur Henri Duveyrier, pendant une année pour ce voyage d’exploration avec des études acharnées dans plusieurs domaines scientifiques comme la géographie, la géologie, la cartographie, l’histoire et il étudie aussi l’arabe et l’hébreu (mais pas le berbère).

Lui qui autrefois était considéré comme un fainéant s’est fait un tableau de travail dont il dit : « …je l’ai horriblement chargé : il marque le commencement du travail à 7 heures du matin, et la fin à minuit, avec 2 interruptions d’une demi-heure pour le repas- tout le reste est divisé en petits cours : l’arabe a ses heures, l’histoire, la géographie ont la leur, et ainsi de suite. Quant à la correspondance, … je l’ai donc reléguée, au moment où le travail était fini, à minuit. Mais quand j’arrive à ces heures -là, …j’ai grandement sommeil… »6

Il y a donc un certain excès, un trait de sa personnalité qu’il gardera toute sa vie et qui deviendra un « excès dans l’amour ».

Charles de Foucauld finance ce projet personnel entièrement par sa fortune personnelle et celle de sa famille, ou plutôt avec ce qui lui en restait, car dans sa jeunesse il avait déjà dilapidé une bonne partie de son héritage, ce qui lui a valu d’avoir un conseil judiciaire.

Il aura d’ailleurs quelques soucis financiers au cours de route à cause des vols successifs. Arrivé au Grand Sud il devra faire un grand détour jusqu’à Mogador (Essaouira) pour se procurer de l’argent – et puis au retour à cause du pillage par deux hommes qui étaient sensés de l’escorter, et il sera obligé de vendre ses mulets pour pouvoir aller jusqu’au bout à la frontière algérienne.

Voyager en juif déguisé avec un guide juif marocain

La population qu’il rencontre au Maroc était en grande majorité musulmane, mais il y avait aussi des nombreuses communautés juives.

A cause du danger que représentait ce voyage pour lui comme européen, Charles de Foucauld avait choisi de se déguiser en rabbin juif, se présentant sous le nom Joseph Aleman et de se faire accompagner par le Rabbin Mardochée Aby Serour.

Mardochée était juif marocain né en 1826 à Tintazart près d’Aqqa dans le Sud marocain et donc âgée d’environ 57 ans. C’était un voyageur très expérimenté et renommé notamment par son voyage à Tombouctou.

Mais souvent c’est Charles de Foucauld qui décide lui-même le chemin à suivre, il prend des risques énormes, contre l’avis de son guide. Ainsi à plusieurs reprises il a failli d’y laisser sa peau.

Et la plupart du temps il utilise dans son récit « je » et très rarement « nous », comme s’il voyageait seul !

Si Charles de Foucauld a réussi son exploration c’est aussi grâce aux connaissances de son guide et il est étonnant de constater qu’il le mentionne seulement 7 fois dans son livre « Reconnaissance au Maroc » et parle dans d’autres endroits de lui-même dans des termes assez méprisants. A cette époque, avant sa conversion, il n’était pas encore question d’être « frère universel » !

Sa méthode de travail

De juin 1883 à mai 1884 il va parcourir à pied surtout et parfois à dos de mulet 3000 km, dont 2250 km totalement inconnus.

Il a fait preuve de capacité d’observations très précises du terrain, de la culture, de l’organisation politique du Maroc, de compétence en différentes matières et d’une grande endurance pendant cette année au Maroc.

Il notait ses observations dans un cahier minuscule de 5 cm carrés avec un crayon long de 2 cm, en prenant la précaution de marcher en avant ou en arrière de ses compagnons.

Mettons-nous en route avec Charles de Foucauld, en le suivant dans ses découvertes, ses aventures et rencontres passionnantes de Tanger jusqu’au Sud marocain et à son retour à Oujda et Lalla Marnia, terme de son voyage.

1 Vicomte Charles de Foucauld, Reconnaissance au Maroc, L’Harmattan 1998

2 Charles de Foucauld, Lettres à un ami de Lycée, Nouvelle Cité 1982, p.118

3 Antoine Chatelard, Charles de Foucauld, Le chemin vers Tamanrasset, Paris, Karthala 2002, p.308

4 Charles de Foucauld, Lettres à un ami de lycée, p. 119

5 René Bazin, Charles de Foucauld, explorateur au Maroc, ermite au Sahara, Paris, Plon, 1921, p. 72

6 Charles de Foucauld, Lettres à un ami de lycée, p.125

Jornada Mundial de la Vida Consagrada 2021

El día 2 de febrero celebramos la Jornada Mundial de la Vida Consagrada. Este año bajo el lema “La vida consagrada, parábola de fraternidad en un mundo herido”.

A continuación, compartimos la carta de la Congregación para los Institutos de Vida Consagrada y Sociedades de Vida Apostólica

[pdf-embedder url="https://www.diocesistanger.org/wp-content/uploads/2021/01/SPAGNOLO.pdf%22]

Finalmente, os ofrecemos un coloquio con Santiago Agrelo, Arzobispo emérito de Tánger, Pilar Tejada y Vicenta Estellés, en el marco de la XXV Jornada Mundial de la Vida Consagrada.

Biographie de Charles de Foucauld 4° partie

«En cherchant Jésus chez les plus éloignés, et en voulant le leur apporter, Charles va trouver des frères, et se sentira appelé à vivre avec eux. D’abord installé à Béni-Abbès, dans l’espoir de pouvoir ultérieurement entrer au Maroc, il va finir par rejoindre les Touaregs dans le sud algérien, dans le désert. C’est là qu’il va entrer profondément dans la vie de ce peuple nomade. Il se fait l’un des leurs apprenant leur langue et leurs coutumes. Il les regarde et les aime comme ses frères et souhaitera qu’ils le reconnaissent lui aussi comme leur frère.

Laissons-le s’exprimer à travers ses écrits et sa correspondance dans cette quatrième et dernière partie de sa biographie»
[pdf-embedder url="https://www.diocesistanger.org/wp-content/uploads/2021/01/CFD-Biographie-avec-photos-et-ecrits-n%C2%B04.pdf" title="CFD – Biographie avec photos et écrits n°4"]

Centro Baraka para la orientación, formación e inserción sociolaboral de Nador

Por Marie-Hélène Bellangeon y Beatriz Tavera Tolmo, Cooperación Internacional Cáritas Española

Con motivo de la celebración el próximo 24 de enero, del Día Internacional de la Educación -una fecha proclamada por la Organización de las Naciones Unidas (ONU) para concienciar a todo el planeta de la importancia de la educación para conseguir los Objetivos de Desarrollo Sostenible, concretamente con el Objetivo 4 sobre la Educación de Calidad-, quisiéramos desde la Área de Cooperación Internacional participar en la reivindicación al acceso a una educación de calidad en el mundo.

Aunque no sea una línea principal de intervención para nuestra organización, sí que apoyamos en África 4 proyectos muy significativos, cuyos impactos sociales a lo largo de estos últimos años nos invita a seguir trabajando juntos. Uno de ellos es el Centro Baraka para la orientación, formación e inserción sociolaboral de Nador (Marruecos, Región Oriental), cuyos objetivos son:  incrementar la empleabilidad de los jóvenes en situación de pobreza, con especial atención a las mujeres, a través de la formación profesional y otras actividades socio educativas y culturales; reducir la brecha de alfabetización y mejorar la situación de las mujeres más vulnerables mediante formación de refuerzo en educación básica y los talleres y actividades de promoción de la mujer; contribuir a la conciliación y luchar contra el abandono escolar y la inexistencia de guarderías en la ciudad, con el apoyo escolar a los niños de las mujeres que estudian en el centro.

En la zona de Nador, las tasas de analfabetismo son alarmantes: 24,4% en hombres y 48,4% en mujeres. Al igual que todas las organizaciones de todo tipo en Marruecos y en todo el mundo, el Centro Baraka se ha visto afectado por la pandemia por Covid19 y las consecuentes restricciones sanitarias establecidas, que fueron desde marzo 2020 muy estrictas en todo el territorio marroquí, con confinamiento obligatorio y cierre de todos los centros y escuelas educativas públicas y privadas. Como consecuencia de la interrupción de las clases presenciales el alumnado más vulnerable se ha visto desvinculado del proceso educativo, tanto por la brecha digital como por otras trabas para continuar su acceso a la educación.

Gracias a la gran experiencia educativa y a la implicación de toda la comunidad escolar, el Centro Baraka respondió rápidamente al nuevo contexto y estableció una serie de medidas para hacer frente a las restricciones y continuar con el proceso formativo cubriendo las necesidades de los más vulnerables.

  • Formación a distancia: se implementaron medidas para el acompañamiento y formación al equipo docente en nuevas modalidades formativas a distancia. Con ello, los profesores consiguieron adaptar toda la planificación pedagógica de los contenidos a la metodología virtual, y además se reforzó el acompañamiento pedagógico al alumnado en grupos de Whatsapp y plataformas digitales. Los alumnos que no podían conectarse en directo a las clases por no tener saldo en su tarjeta de internet, recibían las grabaciones de los cursos y los profesores quedaban disponibles para responder las preguntas en otros horarios. Para el alumnado en situación de mayor vulnerabilidad, sin acceso a internet, se tomaron medidas como la producción y distribución –cumpliendo con las medidas de seguridad y salud pertinentes- de material pedagógico impreso, seguimiento telefónico y otras medidas para asegurar que el estudiantado en situación de mayor vulnerabilidad supera la brecha digital y acceda a la formación (ayudas para recargar el saldo del teléfono, por ejemplo).
  • En caso de los exámenes finales a distancia, aunque el Estado anuló los exámenes finales para todos los niveles excepto bachillerato, el centro Baraka para cerrar el curso 2019-2020 hizo todos los exámenes finales también a distancia, cada profesor ha examinado a sus estudiantes oralmente y también por escrito.
  • Ayuda social a distancia: los niños, niñas y mujeres más vulnerables fueron acompañados a distancia por la coordinadora social y su equipo, y se organizó la distribución de comidas a las mujeres y familias más vulnerables, con apoyo de la Iglesia y la Delegación Diocesana de Migraciones, y con repartos de comida a domicilio.
  • Además, unos meses después de declararse la pandemia, se realizó un estudio de vulnerabilidad del alumnado para conocer las problemáticas que están enfrentando, y se estableció un listado y una serie de respuestas para asegurar la integración social de aquellos en situación de mayor vulnerabilidad, como la distribución de ayuda de emergencia en forma de alimentos, suministros higiénico-sanitarios y medicinas.

Aunque la pandemia causada por la Covid19 ha desordenado la planificación de muchos aspectos del proyecto, también ha hecho nacer un proyecto nuevo e importante con el reto que supone la enseñanza a distancia.

Para el curso 2020-21 Cáritas Española seguirá apoyando el Centro Baraka para que pueda continuar con su misión y evitar el riesgo de la exclusión social de los jóvenes, mujeres y niños, adaptando sus estrategias educativas para poder seguir con sus servicios a pesar de lo que puedan implicar los impactos de la pandemia.

https://www.caritas.es/blog/centro-baraka-para-la-orientacion-formacion-e-insercion-sociolaboral-de-nador-marruecos/

In Memoriam. Hnas PILAR PRAT y ROSARIO PUIG

14 de septiembre de 1930: Viciana (Barcelona)

2 de enero de 2021: Tánger, Marruecos

El Instituto Secular femenino PRO ECCLESIA, llamado también de Misioneras Eclesianas, fue constituido como Asociación y fundado en Tánger el 31 de enero de 1950.

La hermana Pilar llegó a Tánger en el año 1953 para incorporarse a aquella Asociación de Misioneras, que había fundado el sacerdote catalán D. Luis Riba Altarriba.

La Institución estaba dando sus primeros pasos, y, de alguna manera, eso hacía también la Hermana Pilar, pues tenía apenas 23 años.

Cuando todo es nuevo, todo se ha de aprender, y nueva era la fundación, nuevo el lugar de misión, estrenadas las esperanzas, y un mundo soñado que el trabajo había de hacer realidad.

La Hermana Pilar se entregó desde entonces con generosidad de madre al servicio de los pobres y de la Iglesia.

Decía de sí misma que era el comodín de Pro Ecclesia, pues aun habiendo tenido en breves periodos de tiempo un destino fijo, las urgencias la llevaban de un lugar a otro, y allí por donde pasaba, dejaba huella de lealtad, obediencia, sacrificio y amor.

Repetidas veces hubo de asumir el cargo de Responsable General del Instituto. La confianza que las Hermanas depositaban en ella nacía de la serenidad que inspiraba su palabra, de la sabiduría que se adivinaba en sus actitudes, de la bondad que le hacía siempre compañía, de su piedad sencilla, de su entrega a Dios, a la Iglesia, y a sus Hermanas Eclesianas.

Los últimos años de su vida los pasó en la Misión de Tetuán, donde las Eclesianas tenían una Escuela Profesional para formación y promoción de la mujer. Con todo, tampoco en ese destino dejó de ser el “comodín del Instituto”, y se desplazaba con frecuencia a dar una mano a las Eclesianas que trabajaban en España.

A causa de la Pandemia, las chicas en formación profesional en nuestras escuelas de Tánger y de Tetuán no pudieron examinarse el pasado mes de Junio, y prepararon el examen para Diciembre. La Hermana Pilar les prometió acompañarlas, tanto en Tetuán como en Tánger. Y así fue, con gran alegría por parte de una y otras.

A finales de Diciembre, nuestra Hermana se encontró mal.  Se había contagiado con el corona-virus.

Nos dejó en pocos días. Se fue de puntillas, sin ruido,  con su paz y la alegría que siempre la había caracterizado.

Amaba Marruecos. En esta tierra tiene su sepultura. Y en la Eternidad su VIDA.

 

Hermana ROSARIO PUIG TORRAS

1 de mayo de 1931: Navés (Lérida)

10 de enero de 2021, Tánger, Marruecos

Casi sin que se nos diese tiempo para un respiro, apenas ocho días después de que nos dejase la Hermana Pilar Prat, nos dejó también nuestra Hermana Rosario.

También ella entregó su vida como Misionera Eclesiana al servicio de la promoción de la mujer en estas tierras de Marruecos en las que nació nuestro Instituto.

También ella hizo de esta misión entre musulmanes el lugar propio de su responsabilidad cristiana y de su consagración al Señor.

Aquí pasó la mayor parte de su vida, enseñando, animando, acompañando a las jóvenes marroquíes que buscaban en nuestra Escuela la formación humana y profesional que necesitaban; fue un referente para ellas; la querían, y ella las quería y las sirvió hasta los últimos días, en que enfermó.

El Señor nos la dio. El Señor se la quedó.

En ocho días, nuestro Instituto ha perdido ¿ha encontrado? A dos de sus Hermanas. Las dos han dado la vida por la Misión de Marruecos; las dos se nos han ido de Tánger a la Patria, a recibir el abrazo del Padre, de la Virgencita de Montserrat, a  la que tanto amaron.

Pilar, Rosario, estáis siempre en nuestro corazón, siempre en esta hermosa Iglesia en Marruecos, siempre en este querido pueblo marroquí al que tanto habéis amado.

Biographie de Charles de Foucauld 3° partie

Taraudé par la question de Dieu, Charles de Foucauld retrouve une foi vivante et cherche alors à suivre le plus fidèlement possible, son « frère et bien-aimé Seigneur Jésus ». D’étape en étape il cherche.  Tout d’abord il entre comme moine à la Trappe (cistercien de la stricte observance), passant dans trois communautés, sans y trouver ce que son cœur cherche. Peut-être que le « pays de Jésus », mettant ses pas dans les siens, va-t-il l’aider à trouver ?

Avançons dans son itinéraire. Voici la troisième étape de sa biographie.
[pdf-embedder url="https://www.diocesistanger.org/wp-content/uploads/2021/01/CDF-Biographie-avec-photos-et-ecrits-n%C2%B03.pdf" title="CDF – Biographie avec photos et écrits n°3"]

CICLO DE SEMINARIOS WEB (III)

Acompáñenos el lunes 18 de enero, de 11 a 13 horas CETpara la tercera sesión de nuestro ciclo sobre la intervención con niños, niñas y jóvenes no acompañados en movilidad.

Junto con F. Javier Romeo y Fairouz Ibdihi, psicólogos especializados en infancia y migración, hablaremos del enfoque psicosocial en la intervención con niños, niñas y jóvenes no acompañados en situación de movilidad.

Para participar, por favor regístrese aquí:

https://forms.gle/FvWAjoVca2ZETEp18

[pdf-embedder url="https://www.diocesistanger.org/wp-content/uploads/2021/01/PRMH-Programa-webinar-NNJ-sesion-3-ESP.pdf" title="PRMH Programa webinar NNJ – sesion 3 ESP"]

 

Biographie de Charles de Foucauld 2° partie

Enraciné dans la prière et sa rencontre de Jésus, Charles de Foucauld nous met encore aujourd’hui, sur un chemin de fraternité.

Toutes les personnes sont appelées, dans son esprit, au-delà des frontières, au-delà des religions, à vivre des relations humaines dans l’ouverture aux différences, dans le respect, l’écoute et la connaissance de l’autre, dans la gratuité, la justice, dans la solidarité et la bonté.  « Revenons à l’Evangile » disait-il.

Poursuivons les étapes de sa biographie.

[pdf-embedder url="https://www.diocesistanger.org/wp-content/uploads/2021/01/CDF-Biographie-avec-photos-et-ecrits-n%C2%B02.pdf" title="CDF – Biographie avec photos et écrits n°2"]